***10 simulations ont été effectuées avec des rosters de 40 joueurs par équipe (lorsque possible). De manière générale, les pires releveurs et joueurs sans stats ont été retirés. Aucun lineup n’a été construit. Ceci se veut un exercice absolument pas scientifique et pour le plaisir uniquement. Libre à vous de battre les pronostics!***

 

1.   Giants de San Francisco – Moyenne de 129 victoires

Meilleure saison (142 victoires, 1er au classement)

Pire saison (124 victoires, 1er au classement)

10 présences en Séries éliminatoires

 

Signe précurseur d’un retour à la normale en 2021 dans le Monde? Les Giants de Vincent Quirion de retour au sommet de la LBE (ils ont fini 1er lors les 10 simulations). Avec 10 frappeurs de plus de 20 circuits (et 2 à 19), une profondeur sans pareille sur le monticule et un coaching hors-pair, tous les éléments sont réunis pour la poursuite d’un 9e titre des Séries Mondiales pour Vinny!

 

2.   Tigers de Détroit – Moyenne de 115 victoires

Meilleure saison (122 victoires, 2e au classement)

Pire saison (106 victoires, 3e au classement)

10 présences en Séries éliminatoires

 

Dommage que cette équipe soit sans gérant car avec 4 lanceurs partants de 2.50 de MPM ou moins, elle sera toujours dans le match même si les pointages ne risquent pas d’être élevés.

 

3.   Brewers de Milwaukee – Moyenne de 103 victoires

Meilleure saison (110 victoires, 2e au classement)

Pire saison (90 victoires, 9e au classement)

10 présences en Séries éliminatoires

 

Est-ce l’année où Joe saura mener ces troupes à un premier titre des Séries Mondiales? Avec Lamet, Kershaw, Snell, Nola et Buehler, la rotation a de quoi faire rêver, et l’attaque n’est pas en reste non plus. Les partisans (et le DG) sont plus que prêt à sabrer la bière, au diable le champagne!

 

4.   Dodgers de Los Angeles – Moyenne de 101 victoires

Meilleure saison (108 victoires, 3e au classement)

Pire saison (94 victoires, 8e au classement)

10 présences en Séries éliminatoires

 

Fidèle à son habitude, une bonne dose d’OBP combiné à de la puissance au bâton assurera des points à LA, et les lanceurs partants seront suivis d’une excellente relève.Si faire les mêmes choses et espérer un résultat différent est la définition de la folie, notre kamarade Premier Secrétaire Ian est loin d’être fou.

 

 

 

 

 

 

 

5.   Blue Jays de Toronto – Moyenne de 96 victoires

Meilleure saison (105 victoires, 3e au classement)

Pire saison (87 victoires, 12e au classement)

9 présences en Séries éliminatoires

 

Dommage de voir un 2e club sans gérant dans le top 5 car le présent et l’avenir est prometteur pour cette équipe.

 

6.   Rockies du Colorado – Moyenne de 93 victoires

Meilleure saison (102 victoires, 4e au classement)

Pire saison (85 victoires, 14e au classement)

9 présences en Séries éliminatoires

 

Une rotation potable, mais une relève du tonnerre. Ajoutez à ça de bons éléments en attaque et vous ne voulez pas tirer de l’arrière en 5e contre l’équipe montée par Sylvain Fink.

 

7.   Red Sox de Boston – Moyenne de 92 victoires

Meilleure saison (99 victoires, 4e au classement)

Pire saison (86 victoires, 13e au classement)

9 présences en Séries éliminatoires

 

Une pluie de vedette, c’est ce que vous verrez si vous regardez l’alignement des Red Sox de Nicolas Poulin. Peu importe la position, le talent est présent et affronter le Poul ne sera en rien un (Boston Tea) party.

 

8.   Royals de Kansas City – Moyenne de 92 victoires

Meilleure saison (104 victoires, 4e au classement)

Pire saison (82 victoires, 16e au classement)

8 présences en Séries éliminatoires

 

Le noyau construit par Christian Dussault est dans les meilleurs de la ligue, est-ce que les joueurs de soutien et la profondeur pourront finir le travail? L’équipe devrait bien performer cette année et il y aura toujours possibilité d’ajouter des éléments en cours de saison pour le dernier droit.

 

9.   Athletics d’Oakland – Moyenne de 91 victoires

Meilleure saison (101 victoires, 4e au classement)

Pire saison (82 victoires, 17e au classement)

8 présences en Séries éliminatoires

 

Le manque de puissance de l’équipe de Christian Dicaire est la seule chose qui peut empêcher les As d’accéder au prochain niveau car tous les autres aspects nécessaires sont remplis plus qu’adéquatement.

 

10.               Cubs de Chicago - Moyenne de 90 victoires

Meilleure saison (106 victoires, 3e au classement)

Pire saison (86 victoires, 12e au classement)

10 présences en Séries éliminatoires

 

La fin d’un cycle pour Christian Nolet qui revient des bas fonds pour compétitionner dans l’élite cette saison. Une équipe équilibrée somme toute qui a permis aux Cubs de se classer en séries dans les 10 saisons simulées.

 

11.               New York Mets – Moyenne de 90 victoires

Meilleure saison (99 victoires, 6e au classement)

Pire saison (82 victoires, 14e au classement)

7 présences en Séries éliminatoires

 

Ne vous attendez pas à des duels de lanceurs lors des matchs impliquant les Mets de Dominic Charland. Une attaque à tout casser avec les Soto, Freeman, Castellanos et Turner mais également des lanceurs partants douteux. La relève est solide, mais trop peu trop tard?

 

12.               Astros de Houston – Moyenne de 89 victoires

Meilleure saison (98 victoires, 6e au classement)

Pire saison (80 victoires, 17e au classement)

7 présences en Séries éliminatoires

 

Carlos Carrasco et Taijuan Walker donne un excellent duo au sommet de la rotation des protégés de Benoit Lévesque, et la relève n’est pas piqué des vers non plus. Ajoutez à ça de la puissance à plusieurs positions chez les frappeurs et cela donne la dernière place disponible en séries éliminatoire pour les Astros.

 

13.               Marlins de Miami – Moyenne de 88 victoires

Meilleure saison (96 victoires, 6e au classement)

Pire saison (79 victoires, 17e au classement)

6 présences en Séries éliminatoires

 

Même avec Marcell Ozuna et Trevor Bauer dans l’alignement, il manquera de ressources à Mario Thivierge qui finira tout juste hors du portrait des séries. Faire lancer Bauer à tous les 4 jours comme il le voulait dans le réel aiderait-il?

 

14.               Diamondbacks de l’Arizona – Moyenne de 82 victoires

Meilleure saison (87 victoires, 12e au classement)

Pire saison (78 victoires, 18e au classement)

1 présence en Séries éliminatoires

 

Quality over quantity, ce patois ne s’applique pas nécessairement aux troupes de Jean-Sébastien Blouin. Pas que le club soit mauvais avec les Devers et Ian Anderson, mais il n’y a pas encore de super-vedettes en tant que tel malgré l’alignement bien rempli à chaque année à 54 joueurs. Est-ce qu’un diamant réussira à s’élever du lot en 2021?

 

15.               Padres de San Diego – Moyenne de 81 victoires

Meilleure saison (91 victoires, 10e au classement)

Pire saison (72 victoires, 20e au classement)

2 présences en Séries éliminatoires

 

Et notre 3e et dernier club fantôme pour débuter l’année se classe en milieu de peleton. Cela laisse entrevoir un beau repêchage d’expansion pour 2022 avec les 3 équipes dans le top 15.

 

16.               Orioles de Baltimore – Moyenne de 81 victoires

Meilleure saison (89 victoires, 11e au classement)

Pire saison (76 victoires, 18e au classement)

2 présences en Séries éliminatoires

 

Quelques gros éléments pour les hommes de Pierre Rioux avec Kyle Hendricks, Dallas Keuchel et Jose Abreu. Avec quelques acquisitions et du bon coaching, une place en séries éliminatoires est à la portée de cette équipe.

 

17.               White Sox de Chicago – Moyenne de 79 victoires

Meilleure saison (86 victoires, 14e au classement)

Pire saison (69 victoires, 22e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Un manque cruel de lanceurs partants fait mal à l’équipe de Daniel Pagé car les frappeurs ainsi que la relève sont suffisants compétents pour faire le travail cette année. Reconstruction en vue ou on bâtît sur nos acquis?

 

18.               Rays de Tampa Bay – Moyenne de 79 victoires

Meilleure saison (90 victoires, 9e au classement)

Pire saison (69 victoires, 21e au classement)

2 présences en Séries éliminatoires

 

Le potentiel est là pour Richard Knight est sa bande de faire les séries éliminatoires comme en font foi ses 2 participations lors des simulations. L’équipe est bien balancée sans trou béant, cette équipe pourrait finir beaucoup plus haut au classement général que le 18e rang.

 

 

 

 

 

 

 

19.               Angels d’Anaheim – Moyenne de 71 victoires

Meilleure saison (76 victoires, 17e au classement)

Pire saison (68 victoires, 23e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Une fissure se note à partir d’ici dans les clubs où la moyenne de victoires baisse de 8 avec le rang précédent. Pas que Marco Lageux a monté une vilaine équipe mais il manque un peu de tout partout. Zac Gallen et Lance McCullers devraient être là pour plusieurs années, il faudra les entourer dans les prochaines années.

 

20.               Pirates de Pittsburgh – Moyenne de 69 victoires

Meilleure saison (80 victoires, 17e au classement)

Pire saison (62 victoires, 27e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Quelques bons éléments en Realmuto et Tim Anderson, mais la perte de Clevinger après cette année où Jacquelin Corbin est en transition fait très mal pour l’année prochaine et le long terme.

 

21.               Indians de Cleveland – Moyenne de 69 victoires

Meilleure saison (76 victoires, 18e au classement)

Pire saison (60 victoires, 26e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Tout ce qui monte redescend. Après avoir remporté le championnat de la saison en 2019, les Indians de Chuck sont de retour dans le bas du classement. Les blessures des lanceurs et les mauvaises saisons des frappeurs ont tous coïncidés cette année. Un retour à l’excellence en 2022? Ou le début d’une léthargie?

 

22.               Phillies de Philadelphie – Moyenne de 67 victoires

Meilleure saison (77 victoires, 18e au classement)

Pire saison (61 victoires, 26e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Dansy Swanson et German Marquez sont les piliers de l’équipe mais malheureusement, il n’y a pas grand support autour. Daniel Godbout a tout de même quelques éléments intéressants pour les prochaines années avec les Kirilloff, Kirk et Crawford. À voir comment le management tirera son épingle du jeu.

 

 

 

 

 

 

 

 

23.               Rangers du Texas – Moyenne de 66 victoires

Meilleure saison (79 victoires, 17e au classement)

Pire saison (54 victoires, 29e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Même avec un stade neutre partout, les frappeurs adverses s’en sont donné à cœur joie lors de leur joute contre Stéphane Charbonneau. Les Rangers ont les effectifs pour répliquer également mais sur 9 manches, il s’en donnera plus qu’il s’en fera pour les Rangers cette année. Vivement Nate Pearson…

 

24.               Mariners de Seattle – Moyenne de 65 victoires

Meilleure saison (73 victoires, 19e au classement)

Pire saison (55 victoires, 29e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Plus ils sont gros, plus ils tombent de haut. Et il n’y en avait pas de plus haut que Denis Seguin et ses Mariners en 2020. Avec une équipe comprenant un seul lanceur partant digne de ce nom (mais tout un!) et environ 3 frappeurs du même ordre. On comprendra que les attentes seront beaucoup plus modestes cette année.

 

25.               Twins du Minnesota – Moyenne de 64 victoires

Meilleure saison (72 victoires, 20e au classement)

Pire saison (55 victoires, 28e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Les 2 finalistes de la dernière Série Mondiale se retrouve dans la même situation en 2021. Jocelyn Nicol a encore de la puissance avec 4 frappeurs de 25 circuits et plus, mais ça s’arrête là. Il y a cependant quelques comebacks possible alors un retour à la respectabilité pourrait ne pas être trop loin.

 

26.               Reds de Cincinnati – Moyenne de 63 victoires

Meilleure saison (70 victoires, 20e au classement)

Pire saison (53 victoires, 29e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Comme pour bien d’autres équipes, le manque de lanceurs fait mal aux Reds de Jean-Philippe Rioux. L’alignement des frappeurs est potable mais les artilleurs manquent à l’appel. Tout de même, je crois qu’on peut s’attendre à mieux qu’une 26e place pour ce club en 2021.

 

 

 

 

 

 

27.               Cardinals de St-Louis – Moyenne de 61 victoires

Meilleure saison (79 victoires, 18e au classement)

Pire saison (50 victoires, 29e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Embourbé dans le plus long tunnel au monde, on voit finalement la lumière au bout à St-Louis. Une jeune rotation avec de la profondeur à plusieurs positions au niveau des frappeurs. Ce sera peut-être encore un club de fond de classement en 2021, mais on s’attend à ce que ça soit la dernière fois et à de bien meilleurs résultats dans les années à venir pour Jimmy Denoncourt.

 

28.               Nationals de Washington – Moyenne de 59 victoires

Meilleure saison (71 victoires, 20e au classement)

Pire saison (47 victoires, 29e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Castillo, Mize et Bubic forment un jeune trio de lanceurs qui pourraient bien ramener les Nationals de Jimmy Thivierge dans la course au Championnat dans les prochaines années. Les frappeurs ne sont pas vieux également, avec un autre bon choix de repêchage en 2022, les Nats pourraient être l’équipe avec le plus belle montée l’année prochaine.

 

29.               Yankees de New York – Moyenne de 58 victoires

Meilleure saison (66 victoires, 23e au classement)

Pire saison (47 victoires, 30e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

Un club équilibré chez les Yankees cette année, mais ce n’est pas une bonne chose. Tout est en-dessous de la moyenne. La plupart des joueurs de Babe sont en déclin ou sont dans leur prime qui n’est pas si glorieux que ça. Il va falloir du travail pour ramener les lettres de noblesse aux Bombers du Bronx.

 

30.               Braves d’Atlanta – Moyenne de 48 victoires

Meilleure saison (55 victoires, 29e au classement)

Pire saison (44 victoires, 30e au classement)

0 présence en Séries éliminatoires

 

J’hésite à choisir ce qui est le plus impressionnant, la moyenne de 48 victoires sur 10 simulations, ou le fait qu’il y ait 1 saison où les Braves ont réussi à ne pas terminer dernier. Maintenant que le Tomahawk chop est banni dans le stade, la seule raison d’avoir du plaisir cette année à Atlanta s’appellera Fernando Tatis jr. Lueur d’espoir à l’horizon pour Vincent Labossière, les Madrigal, Chisholm, Paredes viendront aider dans les prochaines années.